akryl, plátno
L’inspiration pour la création de ce tableau est notre (probablement) cinquième voyage en Afrique où, après un séjour assez long dans le Pays Dogon, nous revenions à Bamako. C’était une des impressions les plus fortes de tout le continent : le retour s’effectuait dans un paysage aride et brûlé par le soleil. La série des palmeraies, ce n’était que des foyers d’incendie, pourtant nous pouvions ressentir la force immense et la résistance de la nature.
FRANTA